DÉCLARATION SUR LA FERMETURE De Blackfire Mineur canadien




par Luz del Alba Belasko
Rennes,France

Dans le cadre de la mobilisation de protestation de la REMA et Chicomuselo, Front Travailleurs de l'Energie (FTE) ainsi que les organisations sociales et d'autres régions du Chiapas à l'ambassade Canada à Mexico le 3 Décembre, et très la solidarité nationale et internationale, dans le cadre de la visite Mexique Etat de Michaëlle Jean, gouverneure générale du Canada, du 6 au 9 de Décembre et leur visite à San Cristobal de las Casas, Chiapas, avec autorités Ministère de l'Environnement et du Logement (Semavi) du gouvernement du Chiapas fermé le projet minier de la compagnie canadienne qui extrait la barytine Blackfire Municipalité Chicomuselo, Chiapas, mettre des timbres sur les approches et les machines.

"Les travailleurs les cadres (et) résisté à la vérification et Fermeture menace verbalement le personnel Semavi Sans doute"
, un fait sans précédent de répondre à la demande du mouvement social au Chiapas. Sans doute une réponse efficace gouverneur du Chiapas Juan Sabines Guerrero.

Sans Mais le REMA veut faire un certain nombre d'inexactitudes qui circulent dans la presse:


1. La fermeture Semavi exploitation "par des affectations de l'environnement" Sans Mais nous ne devons pas oublier qu'elle ne s'applique qu'une seule raison, l'implication environnement, mais elle ne dit rien au sujet du meurtre de Mariano Abarca
Roblero et les menaces, les coups et les intimidations subies par Les dirigeants d'entreprise et le maire ainsi que les réclamations pour vol de barytine.

2) Le secrétaire de l'Environnement, Lourdes Lopez Moreno, a déclaré que "aucune
n'a pas donné l'autorisation d'ouvrir de nouvelles mines (...) Au Chiapas, il n'ya que
deux permis pour ce type de mine (étendu), et ont été accueillis Août 2005. "C'est un mensonge. Dans le cas du Canada sont 4 entreprises Présent à l'état des multinationales avec 53 concessions minières dans 29 Chiapas communes avec un total de 656 mille 198 hectares. De tous ces Des concessions canadiennes sont 223.954 hectares en concession pour 50 ans et expirer à l'horizon 2050, à travers 15 projets mineurs dans 11 municipalités de l'entité (Ocozocoautla, Chicomuselo, Angel Albino Corzo, Venustiano Carranza, Villa Flores, Copainala Pichucalco, rayonne, Amatenango del Valle, Villa Comaltitlán et Motozintla). D'autre part, comme allant de l'actuelle administration du gouvernement de l'Etat ont donné 30 concessions minières.

3) Les États Semavi que «La raison de la fermeture de l'entreprise découle de la
ouverture de nouvelles routes sans autorisation, à impact sur l'environnement, les émissions de l'air par les particules en suspension et le détournement des cours d'eau et le ruissellement naturel et changement d'usage des sol dans une grande surface (...) »4 Ceci est partiellement vrai. Pendant que sont donnés les impacts sur l'environnement doit également être ajouté le violations que la société a conduit à des accords avec les titulaires, pour menaces de mort par la société jusqu'à l'assassinat de Mariano Abarca.

4) "La mine, qui est extrait à ciel ouvert barytine opérations suspendues
Juillet en raison des protestations des habitants de l'ejido Grèce (...) "5 Ceci est faux. Le Blackfire entreprise n'a jamais cessé ses activités. Le procès-verbal de l'ejido Nouveau Morelia Septembre 7, 2009 décrit comment, même si la ejidatarios tenté de bloquer le passage à la mine pour le vol de la barytine, dirigeants et employés ont menacé de tuer des gens avec des armes incendie. D'autre part, pendant le camp nous font les membres Front civique Chicomuselo avec blocage dans les rues de la municipalité, la
circulent actuellement dans d'autres rues. Comme si cela ne suffisait pas, quelques jours de assassiner de notre collègue, Mariano englobe reprise Blackfire
opérations.

Pendant que la suspension temporaire de la société canadienne est une étape importante, pas de signifie l'annulation des concessions minières dans onze a Blackfire
trois municipalités du Chiapas, ainsi que Chicomuselo également des extraits
minerai de titane comme la magnétite et les municipalités de Pijijiapan et Acacoyagua dans Un total de 16.435 hectares, selon le ministère de l'Économie.



Dans cette situation, l'Office national Rema et Rema du Chiapas, Front Travailleurs de l'Energie (FTE) ainsi que les organisations sociales dans la région réclament l'annulation définitive de la Blackfire concessions minières dans l'état, le châtiment des criminels de matériaux et intellectuels tués Roblero Mariano Abarca, et l'apparition de Les fonctionnaires de l'Blackfire entreprise canadienne aux autorités.

Nous tenons le cabinet de ce Blackfire mai se produire à tout combattant et militant social qui défendent les droits de l'homme, la dignité, environnement, la terre et au territoire de la région contre les actions destructrices Mining Company. Nous nous associons à l'appel à la mobilisation pour la organisations sociales de la région ont lancé dans les semaines à venir. Non repos jusqu'à ce que la société canadienne a payé ses Blackfire crimes et a été expulsé définitivement de l'état du Chiapas.




photographies prises ®Belasko











ESPAÑOL


DECLARACION SOBRE LA CLAUSURA
DE LA MINERA CANADIENSE BLACKFIRE



En el contexto de la movilización de protesta por parte de la REMA, el Frente de Trabajadores de la Energía, así como organizaciones sociales de Chicomuselo y otras regiones de Chiapas a la embajada de Canadá en la Ciudad de México el pasado 3 de Diciembre, y con mucha solidaridad de organismos nacionales e internacionales; en el contexto de la visita de Estado a México de Michaëlle Jean, Gobernadora General de Canadá, del 6 al 9 de diciembre y su visita a San Cristóbal de las Casas, Chiapas, ante autoridades de la Secretaría de Medio Ambiente y Vivienda (Semavi) del Gobierno de Chiapas clausuraron el proyecto minero de la empresa canadiense Blackfire que extrae barita del municipio de Chicomuselo, Chiapas, colocando sellos en los accesos y en la
maquinaria.



“Los trabajadores (y los directivos) opusieron resistencia en la verificación y la
clausura, amenazando de manera verbal al personal de Semavi”
. Sin duda un hecho
inédito como respuesta a la demanda del movimiento social chiapaneco. Sin duda
una respuesta efectiva del Gobernador de Chiapas Juan Sabines Guerrero.

Sin embargo, la REMA quiere hacer varias imprecisiones que circulan en la prensa:

1) La Semavi clausura la explotación “por afectaciones al medio ambiente”2. Sin
embargo, no debemos olvidar que sólo se aplica una razón, la afectación
ambiental, pero no se dice nada sobre el asesinato de Mariano Abarca
Roblero y las amenazas, golpes e intimidaciones que sufrió por parte de los
ejecutivos de la empresa así como del presidente municipal; así como las
demandas por robo de barita.

2) La secretaria del Medio Ambiente, Lourdes López Moreno, afirmó que “no se
ha dado ningún permiso para abrir nuevas minas (…) En Chiapas sólo existen
dos permisos para este tipo de minas (extensivas), y fueron otorgados en
agosto de 2005.” Esto es mentira. En el caso de Canadá son 4 empresas
trasnacionales presentes en la entidad con 53 concesiones mineras en 29
municipios chiapanecos con un total de 656 mil 198 hectáreas. De todas estas
concesiones canadienses 223,954 hectáreas están concesionadas por 50
años y expiran hasta la década de 2050, por medio de 15 proyectos mineros
en 11 municipios de la entidad (Ocozocoautla, Chicomuselo, Ángel Albino
Corzo, Venustiano Carranza, Villa Flores, Copainalá, Pichucalco, Rayón,
Amatenango del Valle, Villa Comaltitlán y Motozintla). Por lo otro lado, en lo
que va de la presente administración de gobierno del estado se han otorgado
30 concesiones mineras.

3) La Semavi afirma que “El motivo de la clausura de dicha empresa deriva de la
apertura de nuevos caminos sin contar con la autorización en materia de
impacto ambiental, emisiones a la atmósfera por partículas suspendidas, así
como la desviación de cauces y escurrimientos naturales y cambio de uso de
suelo en una superficie importante (…)”.4 Esto es parcialmente verdad. Si bien
se han dado los impactos ambientales también habrá que añadir las
violaciones que la empresa ha causado a los convenios con los ejidatarios, a
las amenazas de muerte por parte de la empresa hasta llegar al asesinato de
Mariano Abarca.

4) “La mina, de la cual se extrae barita a cielo abierto, suspendió operaciones en
julio debido a protestas de habitantes del ejido Grecia (…)”5 Esto es falso. La
empresa Blackfire nunca ha dejado de operar. En el acta del ejido Nueva
Morelia del 7 de Septiembre del 2009 se explica cómo, pese a que los
ejidatarios intentaron bloquear el paso a la minera por el robo de barita,
funcionarios y empleados amenazaron de muerte a la población con armas de
fuego. Por otro lado durante el plantón que llevamos a cabo los miembros del
Frente Cívico de Chicomuselo con el bloqueo de una calle en el municipio, la
empresa circulaba por otras calles. Por si no bastara, a los pocos días del
asesinato de nuestro compañero Mariano Abarca la Blackfire reanudó sus
operaciones.

Si bien la suspensión temporal de la empresa canadiense es un gran paso, no
significa la cancelación de las once concesiones mineras que tiene Blackfire en los
tres municipios de Chiapas, ya que además de Chicomuselo también extrae
minerales como magnetita y titanio de los municipios de Pijijiapan y Acacoyagua en
un total de 16,435 hectáreas según la Secretaría de Economía.





Ante esta situación, la REMA Nacional y la REMA Chiapas, Frente de Trabajadores de la Energía (FTE) así como las organizaciones sociales de la región demandamos la cancelación definitiva de las concesiones mineras de la Blackfire en el estado; castigo a los criminales materiales e intelectuales que dieron muerte a Mariano Abarca Roblero; y la comparecencia de los funcionarios de la empresa canadiense Blackfire ante las autoridades.

Responsabilizamos a la empresa Blackfire de lo que pueda suceder a cualquier luchador o luchadora social que defienda los derechos humanos, la dignidad, el medio ambiente, la tierra y territorio de la región contra las acciones depredadoras de la empresa minera. Nos sumamos a la convocatoria de movilización que las organizaciones sociales de la región han lanzado para las próximas semanas. No descansaremos hasta que la empresa canadiense Blackfire haya pagado sus crímenes y haya sido expulsada definitivamente del estado de Chiapas.